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Les reportages - L'Ostéopathie

L’Ostéopathie


Les bases de l’ostéopathie ont été établies vers 1850 par un médecin américain, A.T. Still, mais ce n’est que depuis une vingtaine d’années que cette forme de médecine a été enfin appliquée au cheval, ce qui lui vaut d’être classé ici dans les procédés modernes.

Ce n’est ni par le raisonnement ni par l’observation des symptômes que l’ostéopathe établie son diagnostique.

 

C’est par palpation manuelle très subtile et longue à acquérir qu’il recherche les restrictions de mobilité du système squelettique et qu’il peut alors en déduire les troubles dont le cheval est affecté. On comprend alors que l’ostéopathie ne se résume pas à une technique dont il suffirait d’apprendre les gestes mécaniques de base, c’est une méthode médicale complète, avec ses propres raisonnements.

 

Elle ne s’apprend pas en quelques jours… Précisons aussi qu’il ne s’agit pas de vertèbres « déplacées » que l’on remet en place, mais de vertèbres bloquées par des spasmes que l’on libère.

 

L’ostéopathie étant une médecine, elle permet de traiter non seulement des troubles locomoteurs, mais aussi des problèmes de comportement, ainsi que des troubles internes.

 

Il s’agit en effet d’une médecine holistique, ce qui veut dire qu’elle considère l’organisme comme un tout ayant son propre équilibre, et non comme la somme d’organes étudiés séparément. On ne peut donc pas dire qu’elle traite telle ou telle maladie.

 

C’est là une toute autre façon de voir la médecine, à laquelle la médecine occidentale classique ne nous a pas habitués, mais les résultats prouvent qu’elle a sa place dans l’arsenal thérapeutique et qu’aucune méthode n’est exclusive ni ne doit prendre la place d’une autre.

 

L’ostéopathie n’est pas la panacée, elle est une arme supplémentaire à inclure dans les moyens dont nous disposons pour rendre la santé aux chevaux que nous utilisons pour notre plaisir.

 

Les débuts de l’ostéopathie équine se sont heurtés au scepticisme agressif de nombreuses personnes de toutes professions qui affirmaient que le cheval était un animal trop fort et trop grand pour être manipulé par un humain.

 

C’est en essayant qu’il est apparu qu’il ne s’agit pas d’une question de force et que toutes les manipulations sont possibles si l’on a l’accord du patient.

 

Face à un patient et aux différents moyens de le soigner, il faut respecter une hiérarchie évidente et utiliser d’abord les méthodes qui n’empêchent pas d’en essayer une autre en cas d’insuccès.

 

Si l’on commence par des infiltrations ou de la chirurgie (en se substituant aux propres moyens de régulation de l’organisme), on ne saura jamais si un traitement par une médication non invasive aurait été possible, sans perturber l’organisme et en renforçant ses propres défenses. La médecine classique est une arme de plus en plus précise et absolument nécessaire, mais on doit l’utiliser quand on sait que les autres méthodes ne marchent pas.

 

Les médecines holistiques sont souvent appelées à tort complémentaires : mais aux vues des résultats obtenus dans de nombreux cas, ne peut-on pas dire que c’est la médecine classique qui est complémentaire ?

 

En hommage au Docteur Dominique Giniaux – Vétérinaire Ostéopathe disparu le 04 mai 2004.

 

 


Date de création : 28/06/2005 @ 09:03
Dernière modification : 23/06/2008 @ 18:47
Catégorie : Les reportages
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